Le nombre 23,
Réalisé par Joel Schumacher
Avec Jim Carrey, Virginia Madsen, Logan Lerman Plus...
Film américain.
Genre : Thriller
Walter menait une vie paisible, jusqu'à ce qu'il découvre un étrange roman, Le Nombre 23. D'abord intrigué par ce thriller, Walter s'aperçoit rapidement qu'il existe des parallèles troublants entre l'intrigue et sa propre vie. Peu à peu, l'univers du livre envahit sa réalité jusqu'à l'obsession. Comme Fingerling, le détective de l'histoire, Walter est chaque jour plus fasciné par le pouvoir caché que semble détenir le nombre 23.Ce nombre est partout dans sa vie, et Walter est de plus en plus convaincu qu'il est condamné à commettre le même meurtre que Fingerling... Des images cauchemardesques se mettent à le hanter, celles du terrible destin de sa femme et d'un de leurs amis, Isaac French. Walter ne pourra plus échapper au mystère de ce livre. Ce n'est qu'en découvrant le secret du nombre 23 qu'il aura une chance de changer son destin...
mais aussi :
En apparence, Tim a tout d'un garçon normal. Sa vie professionnelle lui donne satisfaction et il s'entend bien avec Jessica, sa petite amie. Mais en réalité, il est hanté par une terrible angoisse depuis un événement dont il a été témoin à 8 ans.Chaque soir, avant de s'endormir, son père lui racontait une histoire terrifiante. Mais, Tim et son père veillaient toujours à ce qu'aucun monstre ne se cache dans la chambre. Jusqu'à cette nuit où Tim vit son père se faire aspirer à travers le placard pour ne plus jamais reparaître.Depuis, Tim est terrifié rien qu'à l'idée de prendre une veste dans une penderie. Chez lui, il s'est arrangé pour ne laisser aucun recoin sombre ni aucun placards, et son lit est à même le sol. Mais lorsqu'il se voit contraint de quitter son périmètre de sécurité pour aller dîner chez les parents de Jessica, le cauchemar recommence...
Commentaire : légèrement ridicule, s'adresse plutôt à un public d'adolescent prépubère. Une anecdocte, la présence de Barry Watson (sept à la maison) dans un autre registre que le personnage de cette insuportable série sur une famille prtestante bien propre sur elle, où la mère pond des gosses comme une lapine et où tous aime Jésus sans jamais oser le moindre péché ni succomber à la moindre tentation.
Puis :
Commentaire : la ressemblance entre Halle Berry et son aînée Dorothy Dandrige est surpenante, ce téléfilm est assez bien fait et très émouvant sur la carrière d'une actrice probablement née au mauvais moment ou au mauvais endroit, un talent gâché à cause de la couleur de peau. Aujourd'hui les américains se préparent à voter, en souhaitant qu'ils fassent le bon choix. Vendredi 13 mai 2008, good luck Barack !
Introducing Dorothy Dandridge is a television film directed by Martha Coolidge. Filmed over a span of a few weeks in early 1998, the film was aired in the United States on August 21, 1999. The original music score was composed by Elmer Bernstein. The film's tagline is Right woman. Right place. Wrong time.Halle Berry — Dorothy Dandridge
Brent Spiner — Earl Mills
Klaus Maria Brandauer — Otto Preminger
Obba Babatundé — Harold Nicholas
Loretta Devine — Ruby Dandridge
Cynda Williams — Vivian Dandridge
LaTanya Richardson — Auntie
Tamara Taylor — Geri Nicholas
William Atherton — Darryl Zanuck
D.B. Sweeney — Jack Denison
Don Gettinger — Hotel Clerk
Nicholas Hormann — Oscar Emcee
Sharon Brown — Etta Jones
Darrian C Ford — Fayard Nicholas
Kerri Randles - Marilyn Monroe
Pour se souvenir et rendre hommage :
Dorothy Jean Dandridge naît le 9 novembre 1922, à Cleveland dans l’Ohio. Fille d’un pasteur et de la comédienne Ruby Dandridge, elle apprend à chanter et danser avec sa mère. Parallèlement, la jeune fille et sa sœur aînée, Vivian, se produisent, sous le nom des Wonder Kids, dans des spectacles religieux au sein d’églises. Le duo sillonne ainsi les États-Unis, et elles sont toutes deux très vite repérées par un talent scout de la Metro-Goldwyn-Mayer. En 1932, elles s’installent donc à Hollywood.
En 1934, les sœurs Dandridge sont rejointes par la jeune chanteuse Ella Jones. Ainsi reformé, le groupe se fait désormais appeler les Dandridge Sisters. En 1937, elles apparaissent dans It can’t last forever aux côtés de Ralph Bellamy. La même année, Dorothy joue seule un petit rôle, dans Un jour aux courses aux côtés des Marx Brothers, et se fait engager au célèbre Cotton Club. Le trio se reforme en 1939, pour présenter au Center Theater de Broadway, la comédie musicale Swingin’ the dream produite par Erik Charell.
Dans les années 1940, Dorothy Dandridge prête sa voix à plusieurs courts métrages d’animation, et joue des rôles de complément dans plusieurs productions cinématographiques, parmi lesquelles : la Fille du péché (1941) avec John Wayne, Deux nigauds cow-boys (1942) avec Bud Abbott et Lou Costello, Jordan le révolté (1942) avec Alan Ladd et Depuis ton départ (1944) avec Claudette Colbert. Artiste complète, elle chante également, toujours sur les scènes de Broadway, dans Meet the people (1940-1941), un spectacle musical de Danny Dare, ainsi que dans l’orchestre de Desi Arnaz.
En 1942, le 6 Septembre pour être précis, Dorothy épouse Harold Nicholas, un des frères Nicholas, fameux danseurs de claquettes. (Dans Cotton Club de coppola, Gregory Hines joue son rôle). Ils eurent en septembre 1943,une fille Harolyn qui connu des problèmes de santé.
En 1950, Dorothy Dandridge revient au cinéma dans le rôle de Melmendi la reine d’Ashuba dans Tarzan en péril aux côtés de Lex Barker. Trois ans plus tard, elle joue pour la première fois le rôle principal dans Bright Road, où elle donne la réplique à Harry Belafonte, qui restera un ami fidèle. En 1954, elle décroche le rôle titre de Carmen Jones dirigé par Otto Preminger. Le film est un succès, et son extraordinaire prestation lui vaut une nomination aux Oscars. De ce fait, elle devient la première femme noire à devenir une star du cinéma américain. Elle confirme son talent dans Une île au soleil (1957) avec James Mason, dans la production franco-italienne Tamango avec Curd Jürgens et dans Porgy & Bess (1959) avec Sidney Poitier, toujours de Preminger devenu, entre temps, son amant.
Dans les années 1960, Dorothy tourne encore deux films : le Chemin de la peur (1960) avec Trevor Howard et The murder men (1961) avec James Coburn. En 1962, Christian-Jaque l’engage avec Alain Delon pour tourner un Marco Polo qui reste inachevé. Cependant, rencontrant de multiples déboires, tant sur le plan professionnel que personnel, elle décide de reprendre sa carrière de chanteuse.
Quelques jours avant son retour sur scène au Basin Street East de New York, Dorothy Dandridge meurt d’une embolie cérébrale suite à un abus de médicaments. C’était le 8 septembre 1965, à West Hollywood, en Californie. Son corps est inhumé au Columbarium de la Victoire, au cimetière de Forest Lawn, à Glendale en Californie.Dorothy Jean Dandridge naît le 9 novembre 1922, à Cleveland dans l’Ohio. Fille d’un pasteur et de la comédienne Ruby Dandridge, elle apprend à chanter et danser avec sa mère. Parallèlement, la jeune fille et sa sœur aînée, Vivian, se produisent, sous le nom des Wonder Kids, dans des spectacles religieux au sein d’églises. Le duo sillonne ainsi les États-Unis, et elles sont toutes deux très vite repérées par un talent scout de la Metro-Goldwyn-Mayer. En 1932, elles s’installent donc à Hollywood.
En 1934, les sœurs Dandridge sont rejointes par la jeune chanteuse Ella Jones. Ainsi reformé, le groupe se fait désormais appeler les Dandridge Sisters. En 1937, elles apparaissent dans It can’t last forever aux côtés de Ralph Bellamy. La même année, Dorothy joue seule un petit rôle, dans Un jour aux courses aux côtés des Marx Brothers, et se fait engager au célèbre Cotton Club. Le trio se reforme en 1939, pour présenter au Center Theater de Broadway, la comédie musicale Swingin’ the dream produite par Erik Charell.
Dans les années 1940, Dorothy Dandridge prête sa voix à plusieurs courts métrages d’animation, et joue des rôles de complément dans plusieurs productions cinématographiques, parmi lesquelles : la Fille du péché (1941) avec John Wayne, Deux nigauds cow-boys (1942) avec Bud Abbott et Lou Costello, Jordan le révolté (1942) avec Alan Ladd et Depuis ton départ (1944) avec Claudette Colbert. Artiste complète, elle chante également, toujours sur les scènes de Broadway, dans Meet the people (1940-1941), un spectacle musical de Danny Dare, ainsi que dans l’orchestre de Desi Arnaz.
En 1942, le 6 Septembre pour être précis, Dorothy épouse Harold Nicholas, un des frères Nicholas, fameux danseurs de claquettes. (Dans Cotton Club de coppola, Gregory Hines joue son rôle). Ils eurent en septembre 1943,une fille Harolyn qui connu des problèmes de santé.
En 1950, Dorothy Dandridge revient au cinéma dans le rôle de Melmendi la reine d’Ashuba dans Tarzan en péril aux côtés de Lex Barker. Trois ans plus tard, elle joue pour la première fois le rôle principal dans Bright Road, où elle donne la réplique à Harry Belafonte, qui restera un ami fidèle. En 1954, elle décroche le rôle titre de Carmen Jones dirigé par Otto Preminger. Le film est un succès, et son extraordinaire prestation lui vaut une nomination aux Oscars. De ce fait, elle devient la première femme noire à devenir une star du cinéma américain. Elle confirme son talent dans Une île au soleil (1957) avec James Mason, dans la production franco-italienne Tamango avec Curd Jürgens et dans Porgy & Bess (1959) avec Sidney Poitier, toujours de Preminger devenu, entre temps, son amant.
Dans les années 1960, Dorothy tourne encore deux films : le Chemin de la peur (1960) avec Trevor Howard et The murder men (1961) avec James Coburn. En 1962, Christian-Jaque l’engage avec Alain Delon pour tourner un Marco Polo qui reste inachevé. Cependant, rencontrant de multiples déboires, tant sur le plan professionnel que personnel, elle décide de reprendre sa carrière de chanteuse.
Quelques jours avant son retour sur scène au Basin Street East de New York, Dorothy Dandridge meurt d’une embolie cérébrale suite à un abus de médicaments. C’était le 8 septembre 1965, à West Hollywood, en Californie. Son corps est inhumé au Columbarium de la Victoire, au cimetière de Forest Lawn, à Glendale en Californie.
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